Enseignement - Classe de PREMIERE
- Aborder l’art de la danse par une approche à la fois sensible et scientifique qui prend en compte la diversité de ses esthétiques et de ses pratiques
- Acquérir des outils et des méthodes permettant de porter un regard éclairé sur la danse et de nourrir une pensée critique ;
- Construire son projet d’orientation en construisant, par les expériences vécues en danse, un itinéraire de formation singulier.
- S’engager corporellement et publiquement en explorant la relation à soi, la relation à l’autre, la relation à l'environnement ;
- Conduire un travail chorégraphique singulier, personnel selon une pratique de recherche ;
- Mener une analyse sur le mouvement, l’œuvre, l’artiste, la danse, en les situant dans leurs divers contextes ;
- Rendre compte de ses acquis et de ses potentialités, et être en capacité de valoriser ses atouts.
Art corporel utilisant le corps comme vecteur d’une interprétation du reel et destiné à être vue et appréciée par un public
LABAN décrit « LES QUATRES FACTEURS DU MOUVEMENT» (Auteur Dominique Brun)
Les mouvements, qu’ils soient conscients ou inconscients résultent de l’interaction de facteurs dynamiques ;
Laban en distingue quatre :
- le Poids (ou Force motrice pondérale, c’est-à-dire la tension musculaire déployée dans le mouvement, en réponse à la force gravitationnelle), qui varie du léger au fort
- l’Espace, qui varie du multidirectionnel au ciblé
- le Temps, qui varie du ralenti à l’accéléré
- le Flux, qui varie du libre au contrôlé (le contrôlé permettant d’arrêter le mouvement à tout instant) le flux est la qualité de propagation du mouvement, la qualité de fluidité
LABAN en fait des termes d’expérience: de plans (horizontal, vertical, sagittal), de niveau (haut, intermédiaire, bas), d’orientation (latéral, perpendiculaire, oblique), d’éloignement (proche, lointain)
Espace corporel proche
- volume (sphère : sagittal, longitudinal, horizontal)
- forme
- expansion gestuelle
Espace de déplacement
- direction (étoile)
- niveaux (haut, bas, moyen, sol…)
- orientation (face, profil, dos…)
- trajets (circulaire, anguleux etc.)
- Espace de représentation = espace scénique
- Espace lieu: souvent un théâtre
- Espace symbolique: Orienté pour le public en fonction de ce qu’on veut qu’il voit. Il peut être découpé en plusieurs paramètres :
*directions : avant, arrière, côtés, haut, bas ; selon trois plan : sagittal ( droite/gauche), frontal (arrière/avant) et transversal (Haut/bas).
*orientations, définies par rapport à un point extérieur au corps
*les niveaux : haut (sauts), moyen (normal) et bas (sol)
*les tracés : trajets définis par les mouvements dans l’espace (courbe, zigzag, droite)
*les dimensions : jeu des volumes dans l’espace propre (grand/ petit)
ex: le cercle symbolise l’union, le zig zag l’incertitude...
- Espace proche ou intime
L’allongement maximal des segments autour du corps représente sa limite. (voir la kinesphère de LABAN)
On peut aussi évoquer l’espace interne qui est à l’intérieur du corps (domaine de la respiration). Celui- ci aide à analyser les sensations kinesthésiques.
Espace relationnel = interpersonnel
Organise les mouvements de plusieurs danseurs entre eux.
On parle alors de mises à distances d’un danseur par rapport à l’autre et aussi par rapport aux spectateurs. Cette mise à distances est nulle s’il y a contact ou porté. Elle joue sur les effets donnés (espace symbolique)
La relations entre danseurs est organisées en fonction du corps de l’autre perçu comme un matériau
La relations entre danseurs est aussi organisées en fonction du temps - les rapports aux temps entre danseurs (unisson, canon, rattrapé, cascade, réponse, différent.)
La relations entre danseurs est enfin organisées en fonction de l’espace choix de contact - les appuis - les tractions passives - les porters - Distance entre les danseurs, orientations et directions choisies
Relations entre danseurs est aussi influencée par les rôle à tenir
Utilisation intentionnelle de toutes les possibilités articulaires, musculaires et physiologiques et de leur coordination
- Manifestation de la gravité - compenser, aller vers, s’opposer à la gravité - les balancers
- Mobilisation des segments
- Mobilisation du corps en entier
- Choix des formes en lien avec son projet
L’interprétation de la fable «Le Chêne et le Roseau» par Mourad Merzouki, se concentre sur la dualité entre force et flexibilité, ainsi que sur la résilience face à l’adversité.
- Symbolisme des Personnages : Le chêne représente la force brute et la rigidité, tandis que le roseau incarne la souplesse et l’adaptabilité. En danse, ces caractéristiques peuvent être exprimées par des mouvements puissants et ancrés pour le chêne, et des gestes fluides et flexibles pour le roseau.
- Contraste de Mouvements : Les chorégraphies exploitent souvent le contraste entre des mouvements rigides et des mouvements fluides. Cela permet de visualiser la tension entre la résistance inflexible du chêne et la capacité du roseau à plier sans se rompre.
La structure métrique
La métrique est le temps divisé en unité mesurable. Elle émane du mouvement du danseur (rythmes cardiaques, respiration ..) mais peut aussi provenir d’éléments sonores extérieurs (musiques , percussion)
Différents éléments constituent cette structure métrique :
- la pulsation : battement régulier, continu, uniforme
- le tempo : Il correspond à la vitesse de déroulement des pulsations.
- l’accent : Il se greffe à une pulsation de manière forte ou faible et permet de reconnaître la mesure.
- la mesure: Elle regroupe un certain nombre de pulsations à partir d’un accent principal revenant régulièrement ( 2, 3 4 temps ou composé 5et 7 )
- le rythme : LALOY : c’est une mise en œuvre déterminé du temps. C’est un ensemble de pulsations, accents et mesures, ce qui fait que l’on parle de rythme binaire ou ternaire
la phrase : c’est un groupe de mesure et de pulsation formant un thème rythmique ou mélodique homogène qui aspire à se répéter Le mouvement peut créer son propre rythme (musicalité intérieure) ou suivre un rythme extérieur (musique) ou « jouer » avec le rythme (s’en distancier, le retrouver, l’inverser,...).
La structure non métrique ou amétrique
C’est une durée de valeur relative identifiée en terme de vitesse. Elle donne un mouvement lent ou rapide , accéléré ou décéléré (notions relatives ou subjectives). Elle est liée à la notion de durée
Fortement instrumentalisé, énergie peu contrastée, reproduction de formes
Précision du vocabulaire (positions, pas de base), importance de l’en dehors et de la verticalité (élévation, légèreté)
Hiérarchisé, central, frontal et vertical. Rapport au sol peu présent.
Orchestrées, extraites du répertoire classique, écrites ou non pour la danse mais toujours en adéquation avec la musique
Le corps est la matière, énergie organique (accents, élans…) formes épurées
Disponibilité corporelle, musicalité gestuelle, diversification des appuis, intérêt du poids et du centre du corps
Eclaté, diversifié, importance de la relation au sol
Styles et univers sonores variés, rapports diversifiés, autonomie musique- danse
Libératoire, dynamismes pulsatoires (tensions et relâchements)
Mobilité et rayonnement de la colonne vertébrale, rôle fort des appuis pédestres
Importance du cercle Percussions, chants… fusion des pulsations sonores et corporelles
Communicatif, maintien du tonus de base
Dépend de la danse mais pas d’utilisation du sol (farandole…)
Traditionnelles, chants, musique médiatrice de la danse
Tonique, affilié à l’identité de genre, dynamismes et formes dépendant de la danse
Dépend de la danse mais importance de la rotation, des appuis, du contact avec l’autre
Dépend de la danse mais importance de l’espace du couple, pas d’utilisation du corps au sol
Valse, tango, salsa, rock… rapports dynamiques et structurels à la musique
La démarche de création en danse est le processus par lequel un chorégraphe crée une œuvre de danse. Cela implique généralement de concevoir une chorégraphie, de choisir la musique et les costumes, de travailler avec les danseurs et d’affiner le mouvement.
La démarche de création en danse est un processus complexe qui peut varier en fonction des artistes et des compagnies de danse. Cependant, voici quelques étapes générales qui sont souvent utilisées dans la création d’une chorégraphie en danse :
La recherche : Cette étape consiste à collecter des idées, des inspirations et des références pour nourrir la création. Les chorégraphes peuvent explorer différents mouvements, styles de danse, concepts ou thèmes.
L’improvisation : L’improvisation est une technique couramment utilisée pour générer de nouvelles idées en danse. Les danseurs explorent librement le mouvement, en réagissant à la musique, à l’espace et à d’autres danseurs. Cela permet d’explorer de nouvelles possibilités et de découvrir des mouvements uniques.
La composition : Une fois que les idées ont été explorées et développées, les chorégraphes commencent à organiser les mouvements dans une structure cohérente. Ils créent des séquences de mouvements, des motifs récurrents et des variations pour construire la chorégraphie.
Le travail avec les danseurs : Les chorégraphes collaborent étroitement avec les danseurs pour affiner et développer la chorégraphie. Ils peuvent donner des instructions spécifiques sur la technique, l’interprétation et l’expression émotionnelle.
Les répétitions : Les répétitions sont essentielles pour affiner la chorégraphie et permettre aux danseurs de s’approprier les mouvements. Les chorégraphes apportent des ajustements, des modifications et des améliorations en fonction du rendu scénique et de l’interaction avec les danseurs.
La mise en scène : Cette étape concerne la création de l’environnement scénique dans lequel la chorégraphie sera présentée. Les éléments tels que les costumes, les lumières, la musique et les décors peuvent être intégrés pour renforcer l’impact visuel et émotionnel de la chorégraphie.
La création d’une chorégraphie en danse est un processus complexe qui implique plusieurs éléments. Voici quelques-uns des éléments les plus importants pris en compte lors de la création d’une chorégraphie
La musique : La musique joue un rôle essentiel dans la création d’une chorégraphie en danse. Les chorégraphes choisissent généralement une musique qui correspond au thème ou au concept de leur pièce, et utilisent la structure musicale pour organiser les mouvements et les transitions.
Le mouvement : La création d’une chorégraphie implique de développer des mouvements uniques et originaux. Les chorégraphes peuvent s’inspirer de différentes techniques de danse, explorer de nouvelles façons de bouger ou créer des gestes symboliques qui expriment des émotions ou des idées.
L’espace : L’utilisation de l’espace est un autre élément important dans la création d’une chorégraphie. Les chorégraphes décident comment utiliser l’espace scénique, comment déplacer les danseurs dans l’espace et comment créer des relations spatiales entre les danseurs.
Le rythme : Le rythme est un élément clé de la danse. Les chorégraphes créent des mouvements qui sont en harmonie avec le rythme de la musique, en utilisant des accents et des pauses pour créer des effets dramatiques.
Les costumes et les décors : Les chorégraphes peuvent également prendre en compte les costumes et les décors lors de la création d’une chorégraphie. Ces éléments visuels peuvent renforcer le thème ou le concept de la pièce et contribuer à l’atmosphère générale de la performance.
La narration ou le concept : Certains chorégraphes créent des chorégraphies avec une narration ou un concept spécifique. Ils peuvent raconter une histoire à travers la danse ou explorer des idées abstraites ou philosophiques. Le concept ou la narration guide souvent le processus de création et influence les choix artistiques du chorégraphe.
Ces éléments ne sont que quelques exemples parmi tant d’autres qui peuvent être pris en compte lors de la création
Dans le processus de création en danse, les danseurs jouent un rôle essentiel. Ils participent activement à la création de la chorégraphie en apportant leurs idées, leurs compétences techniques et leur interprétation artistique. Voici quelques façons dont les danseurs peuvent contribuer au processus de création en danse :
Improvisation : Les danseurs peuvent être invités à improviser des mouvements ou des séquences pour explorer de nouvelles idées ou concepts. L’improvisation permet aux danseurs de s’exprimer individuellement et de contribuer à la vision globale de la chorégraphie.
Collaboration : Les danseurs collaborent avec le chorégraphe et les autres membres de la compagnie pour développer la chorégraphie. Ils peuvent être impliqués dans des discussions créatives, des sessions de répétition et des expérimentations pour trouver des mouvements et des combinaisons qui correspondent à la vision du chorégraphe.
Interprétation : Les danseurs apportent leur propre interprétation artistique à la chorégraphie. Ils donnent vie aux mouvements créés par le chorégraphe en y ajoutant leur propre style, leur émotion et leur expression personnelle.
Feedback : Les danseurs peuvent donner leur avis et leur feedback sur la chorégraphie en cours de création. Leur perspective en tant qu’interprètes est précieuse pour aider le chorégraphe à affiner sa vision et à ajuster les mouvements en conséquence.
En somme, les danseurs sont des collaborateurs actifs dans le processus de création en danse. Leur participation contribue à la richesse et à la diversité des œuvres chorégraphiques.
Marina Abramovic est une artiste contemporaine connue pour ses performances radicales et provocantes. Sa démarche artistique est profondément personnelle et explore souvent les limites du corps, de l’esprit et de la relation entre l’artiste et le public. Voici quelques étapes clés de sa démarche de création :
Auto-exploration : Abramovic puise souvent dans sa propre vie, son identité et son histoire personnelle pour créer des performances. Elle utilise son corps comme médium et explore des thèmes tels que la spiritualité, la féminité, la douleur et la vulnérabilité.
Rituel et spiritualité : L’art de Marina Abramovic est souvent teinté de rituels et d’éléments spirituels. Elle a été influencée par des pratiques spirituelles et mystiques, notamment le chamanisme et le bouddhisme, et intègre ces influences dans ses performances.
Relation avec le public : Abramovic est connu pour ses performances interactives qui brisent la frontière traditionnelle entre l’artiste et le public. Elle cherche à créer des expériences où le public devient une partie intégrante de l’œuvre d’art, souvent en les invitant à participer activement.
Préparation physique et mentale : Les performances de Marina Abramović exigent souvent une préparation physique et mentale intense. Elle a suivi des pratiques rigoureuses pour renforcer son endurance physique, car certaines de ses performances peuvent durer des heures, voire des jours.
Minimalisme et concentration : Abramovic privilégie souvent le minimalisme dans ses performances, mettant l’accent sur des actions simples mais puissantes. Elle cherche à créer des moments de concentration intenses, invitant le public à réfléchir profondément sur l’expérience artistique.
Documentation et mémoire : La documentation de ses performances est un aspect important de la démarche d’Abramovic. Elle utilise la photographie, la vidéo et d’autres formes de médias pour capturer et partager ses performances, créant ainsi une mémoire visuelle et émotionnelle.
Controverses et provocation : Abramovic n’hésite pas à aborder des sujets controversés et à provoquer des réactions émotionnelles chez le public. Ses performances peuvent parfois choquer, déranger ou remettre en question les normes sociales, suscitant ainsi des débats sur l’art et la société.
Pina Bausch était une chorégraphe et danseuse allemande de renommée, surtout connue pour son travail novateur dans le domaine de la danse contemporaine et du théâtre-danse. Sa démarche de création était profondément influencée par plusieurs éléments clés :
L’expression émotionnelle : Pina Bausch était très intéressée par l’exploration des émotions humaines. Ses créations ont souvent été caractérisées par une profonde intensité émotionnelle et une authenticité dans la représentation des sentiments humains.
La collaboration avec les danseurs : Plutôt que de dicter strictement ses chorégraphies, Bausch avait l’habitude de collaborer étroitement avec ses danseurs. Elle encourageait la contribution personnelle des interprètes à la création, les invitant à puiser dans leurs propres expériences et émotions pour enrichir le processus créatif.
L’observation du quotidien : Pina Bausch était souvent inspirée par la vie quotidienne et les interactions humaines ordinaires. Elle puisait dans les expériences de tous les jours pour créer des œuvres qui abordaient des thèmes universels tels que l’amour, la solitude, la joie et la douleur.
L’intégration du théâtre-danse : Bausch était une pionnière du concept de «théâtre-danse», fusionnant la danse contemporaine avec des éléments théâtraux. Ses chorégraphies incorporaient souvent des dialogues, des objets du quotidien et des éléments narratifs, créant ainsi une expérience artistique multidimensionnelle.
L’attention aux détails et à la gestuelle : Les performances de Pina Bausch étaient caractérisées par une attention minutieuse aux détails de la gestuelle. Chaque mouvement, chaque expression faciale a été soigneusement conçu pour transmettre des significations complexes et subtiles.
Les voyages et la diversité culturelle : Bausch était une fervente voyageuse et elle puisait dans les diverses cultures du monde pour enrichir ses créations. Ses spectacles incorporent souvent des éléments de différentes traditions culturelles, créant ainsi une fusion unique de styles.
La remise en question des normes conventionnelles : Pina Bausch cherchait constamment à repousser les limites de la danse traditionnelle et à défier les normes conventionnelles. Ses créations étaient souvent provocantes, défiant les attentes du public et élargissant la notion de ce que la danse pouvait être.
1. Interprétation Artistique
Dans cette adaptation, Jean-Claude Gallotta donne vie à l'album concept de Serge Gainsbourg en transformant la musique en une expérience visuelle et émotionnelle. L'histoire d'amour tragique entre l'homme à la tête de chou et Marilou est interprétée à travers des tableaux vivants qui capturent les nuances de la passion et de la jalousie. Par exemple, la scène où l'homme découvre l'infidélité de Marilou est traduite par une danse frénétique et désordonnée, illustrant la montée de la colère et de la confusion. La musique de Bashung, avec sa voix rauque et émotive, ajoute une profondeur supplémentaire, renforçant les émotions brutes des personnages.
2. Chorégraphie
La chorégraphie de Gallotta est marquée par une fluidité et une expressivité qui permettent aux danseurs d'incarner pleinement les émotions complexes des personnages. Un exemple concret est l'utilisation de mouvements circulaires et répétitifs pour symboliser l'obsession et la spirale descendante de l'homme à la tête de chou. Les danseurs utilisent également des gestes saccadés et angulaires pour représenter la tension et le conflit intérieur. La scénographie minimaliste, avec des éclairages dramatiques et des costumes sobres, met en valeur la physicalité des danseurs, permettant au public de se concentrer sur l'intensité de la performance.
3. Réception Critique
Le spectacle a été largement salué pour sa capacité à réinterpréter l'œuvre de Gainsbourg tout en respectant son essence. Les critiques ont souvent souligné la manière dont Gallotta a réussi à créer une symbiose entre la danse et la musique. Par exemple, la scène finale, où l'homme est laissé seul sur scène avec la chaise vide, a été particulièrement remarquée pour sa puissance émotionnelle. Cette image finale symbolise à la fois la perte de Marilou et l'absence de Bashung, créant une résonance émotionnelle qui perdure au-delà de la performance. Cependant, certains critiques ont noté que l'intensité émotionnelle du spectacle pouvait être écrasante, soulignant ainsi l'impact profond de l'œuvre sur le public.
En somme, "L'Homme à la tête de chou" de Gallotta est une œuvre riche et complexe, qui utilise la danse pour explorer des thèmes profonds et universels, tout en rendant hommage à l'héritage musical de Gainsbourg et Bashung.
Consignes:
Choisir un extrait d’œuvre support
Réaliser un exposé présentant:
- biographie du chorégraphe
- analyse du contexte d’émergence de la pièce
- analyse du thème
- analyse du mouvement
- analyse de la scénographie
Critères d’évaluation:
- Voix claire et captivante : La voix soutient efficacement le discours.
- Variations de ton : Qualités prosodiques marquées (débit, fluidité, variations et nuances pertinentes, etc.).
- Vocabulaire riche et passion : L’élève est pleinement engagé dans sa parole. Il utilise un vocabulaire riche et précis.
- Organisation claire et compréhensible (expliquée = des parties) de l’oral : Discours fluide, efficace, tirant pleinement profit du temps et développant ses proposition
- Connaissances et connaissances plus vastes (culture) :Connaissances maîtrisées, les réponses aux questions des camarades témoignent d’une capacité a mobiliser ces connaissances à bon escient et a les exposer clairement.
- Interactif et attentif aux spectateurs : S’engage dans sa parole, réagit de façon pertinente. Prend l’initiative dans l’échange. Exploite judicieusement les éléments fournis par la situation d’interaction.
- Argumentation de qualité : Maîtrise des enjeux du sujet, capacité a conduire et exprimer une argumentation personnelle, bien construite et raisonnée