Série VIDEO
Retours en image du travail des élèves danseurs du lycée Guillaume Apollinaire
Ce titre renvoie à différentes problématiques contemporaines favorisant une meilleure compréhension du monde qui nous entoure. Former un citoyen cultivé, lucide et autonome, c’est lui permettre de développer une pensée du monde et un esprit critique. Les programmes de la spécialité danse sont construits dans ce sens.
Les thèmes d’étude – en seconde enseignement optionnel : la danse comme une approche plurielle – en première enseignement optionnel : la danse comme une expérience de l’altérité – en première de spécialité : le corps en danse et la danse entre continuité et rupture – en terminale de spécialité : la danse une interrogation portée sur le monde- confirment cette volonté.
Le choix de travailler autour d’un projet commun « Nos frontières » et de façon spécifique pour chaque niveau de classe relève d’un choix pédagogique assumé.
Se questionner autour de « Nos frontières » se développera alors en seconde autour des frontières spaciales questionnant alors la danse et ses enjeux interculturels. Dans un monde ouvert ou la liberté de circulation est une valeur dominante, les murs et les frontières n’ont jamais été si nombreux. Est-ce le symbole du retour aux territoires par rapport à la domination des espaces ? Murs et frontières deviennent alors le symétrique et le contraire de l’idéologie de la circulation. Quand tout évoque vitesse et circulation, les murs s’imposent là ou les réseaux magnifient la liberté et le mouvement, les frontières fleurissent. Toute problématique de mur frontière symbolise le rapport à l’autre mettant en opposition le même, l’identique, à l’autre, l’altérité celui qui empêche la circulation.
En première enseignement de spécialité, la notion de frontière sera interrogée à partir du questionnement suivant : La frontière entre codes et transgression. Les racines sont- elles indispensables à l’identité individuelle et collective ? Quels sont les rapports dans le temps et dans l’espace entre racine, identité incommunication et murs ?
En terminale enseignement de spécialité, ce sujet offre une réflexion autours des individus multi branchés « incapables de sortir de leurs solitudes interactives, devenant des handicapés de la réalité incapables de relations banales avec autrui. Toute problématique des murs et des frontières trouvent en écho celle de la communication avec tous les modes possibles de relations plus ou moins hiérarchiques et d’interactions entre soi et les autres. Négociation avec l’autre ou cohabitation avec lui ? S’ouvre alors un questionnement autour de la danse et de l’évolution des nouvelles technologies ainsi que la danse et les biens culturels de consommation.
TERMINALE spécialité DANSE - LA PHRASE RITUEL D ANNA HALPRIN - "LE RITUEL DE MOUVEMENT" est une séquence de mouvements structurée qui permet d’augmenter la conscience du mouvement, son amplitude, et la souplesse du corps. On l’utilise aussi comme point de départ pour des explorations créatives en mouvement"
PREMIÈRE enseignement de spécialité DANSE - Jeux chorégraphique
Et si la danse était un grand jeu de société, avec ses cartes à danser, actions ou joker, son tapis, ses règles et ses participants ?
SECONDE enseignement optionnel DANSE - composition chorégraphique.
La composition chorégraphique est l'art de composer une chorégraphie. Elle se fait généralement avec des échanges entre le chorégraphe et les danseurs. Dans ce domaine, on parle d'une phrase dansée comme dans l'écriture, d'une phrase écrite. En danse on peut dire que le geste est comme le mot dans la phrase
TERMINALE spécialité DANSE - LA PHRASE RITUEL D ANNA HALPRIN - "LE RITUEL DE MOUVEMENT est une séquence de mouvements structurée qui permet d’augmenter la conscience du mouvement, son amplitude, et la souplesse du corps. On l’utilise aussi comme point de départ pour des explorations créatives en mouvement"
PREMIÈRE enseignement de spécialité DANSE - Jeux chorégraphiques
Et si la danse était un grand jeu de société, avec ses cartes à danser, actions ou joker, son tapis, ses règles et ses participants ?
SECONDE Enseignement optionnel de la DANSE - Autour de la pièce chorégraphique " Babel heureuse" de Montalvo & Hervieux
TERMINALE Spécialité Danse - Nos parts d ombres - En 1972, Anna apprend qu'elle est atteinte d'un cancer, dont elle fait une rechute trois ans après. Elle décide, en lien avec son travail sur le rituel, de dessiner un autoportrait - un profil sombre, un profil lumineux - puis de danser ces deux côtés l'un après l'autre. Après une danse macabre, tenant presque de l'ordre de l'exorcisme (des archives existent), elle danse son côté lumineux, comme une prière, une communion. Après ce rituel, Anna fait une très rare rémission spontanée. Cette épreuve marque un tournant dans son esprit. Elle commence alors à travailler sur la danse-thérapie, notamment avec des malades du cancer et du sida, les aidant à se réconcilier avec leur corps et devenir pleinement acteur de leur processus de guérison. Ces réunions cathartiques sont nommées Circle the Earth.
« Avant mon cancer, je vivais pour mon art. Après mon cancer, l'art me servait à vivre"
Autour de la pièce Magnésium de Steve Paxton - Enseignement de spécialité DANSE Terminale.
En janvier 1972, à l'occasion d'une résidence de Grand Union à Oberlin College, Steve Paxton chorégraphie Magnesium : une série d'improvisations où de jeunes athlètes et danseurs de ses étudiants sont invités à tester collisions, chutes, et sauts dans les airs. Quatre mois plus tard, en juin 1972, ces explorations donnent lieu à Contact Improvisations, une installation-performance dans une galerie d'art new-yorkaise où Paxton réunit une vingtaine de collègues, d'amis et d'anciens étudiants pour explorer le corps-réflexe des danseurs dans un état adrénalisé par la chute et entraîné à y survivre par différentes techniques empruntées au yoga, à l'Aïkido et à la danse moderne
JAM "L'autre & moi" - TERMINALE enseignement de spécialité DANSE
Sortie spectacle - Trisha Brown. “Mon travail parle d'espace, de forme, de directions, de changements, de rupture, de vitesse, de dynamique et de qualité de mouvement..."
Atelier " Sous les fleurs" - Cnie Thomas Lebrun - PREMIERE & TERMINALE Enseignement optionel de la danse - Le chorégraphe Thomas Lebrun s'est intéressé aux Muxes, un genre inconnu ailleurs, qui est une féminité masculine présente chez les Zapotecas au Mexique. Sa nouvelle création, "Sous les fleurs", explore cette notion de féminité chez l'homme sans la réduire à la sexualité. Le spectacle mélange danses masculines et féminines, réalisme et onirisme, et offre un espace de liberté et de tolérance.
Pojet "Découvrir une démarche de création de l'idée à la réalisation" - Chorégraphie BIRDS Cnie TranS - Seconde enseignement optionnel de la danse